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La deuxième journée du tournoi Cœur de Flandre

La deuxième journée du tournoi Cœur de Flandre

Publié le 30 août 2009
Le HBH 71 façon Docteur Jeckyll et Mister Hyde…                   Cette deuxième journée du tournoi Cœur de Flandre, jouée dans la salle Henri-Desbuquois, permettait aux spectateurs d’assister, outre au tournoi féminin (voir par ailleurs), à trois autre rencontres (*) qui précédaient l’affiche du jour. En effet, le […]

Le HBH 71 façon Docteur Jeckyll et Mister Hyde…

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Cette deuxième journée du tournoi Cœur de Flandre, jouée dans la salle Henri-Desbuquois, permettait aux spectateurs d’assister, outre au tournoi féminin (voir par ailleurs), à trois autre rencontres (*) qui précédaient l’affiche du jour. En effet, le HBH 71, version D 2, était opposé à Gonfreville-l’Orcher, déjà sociétaire de D 2.
Ce sont d’ailleurs les Normands qui menaient les débats (0-2) dès l’entame de la partie avant un retour rapide (5e, 2-2) signé Valente et Desrumeaux. Dès ce moment-là, les Flamands se lançaient dans la partie  grâce à un collectif soudé et très offensif à l’image de Valente mais aussi de Bastard et de Billet (15e, 7-4 ; 23e, 13-9) pour atteindre la pause avec une confortable avance : 16-11.
A la reprise, même avec un Guillaume Debert des grands jours, le HBH 71 semblait retomber dans ses habituelles erreurs et se faisait remonter par des Normands accrocheurs : 45e, 19-17. Thierry Micolon faisait alors rentrer à nouveau les artilleurs de base qui remettaient de l’ordre dans la maison flamande (55e, 24-20) avant de terminer en roue libre avec une victoire méritée : 24-23.
Les commentaires de Thierry Micolon, l’entraîneur du HBH 71 : « Je suis tenté de dire que si on se fixe sur la première mi-temps, on est quand même en progrès continu. Mais on a encore vu que nous avions des sautes de rendement.
Mais si on retient plutôt notre prestation de la deuxième mi-temps, je pense qu’on reste bloqué huit à dix minutes sans marquer. L’avance confortable qu’on s’était donné de cinq-six buts a fondu dans un premier temps par un manque d’efficacité offensive sur des duels face au gardien. On a peiné, on a raté des penalties… Après, la fin de match devenait serrée, couteau. On retiendra malgré tout que c’était une victoire sur une formation qui était en avance sur nous au niveau de sa préparation. On voit qu’il nous reste du travail à effectuer. Je veux bien comprendre qu’il y a des rotations qui ne mettent pas forcément les joueurs dans des dispositions de confiance mais il faut savoir donner sur des périodes différentes, parfois plus courtes. Il faut toutefois apprendre à être plus performants.
D’une manière générale, il y a encore du travail.
 »

(*) Les résultats des autres matches : Livry-Villepinte – Saran : 26-29 ; Saran – Gonfreville-l’Orcher : 29-38 ; Livry-Villepinte – Villeneuve-d’Ascq : 28-20.

Texte et photos :
Jean-Pierre MALEWICZ

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