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Le rythme d’entraînement s’accélère

Le rythme d’entraînement s’accélère

Publié le 23 septembre 2009
Sus aux pinailleurs et aux tire-au-flanc Hier soir, le travail demandé était intense, le prochain adversaire (comme les autres d’ailleurs !) ne sera pas en attente alors qu’il vient de perdre la semaine dernière. Thierry Micolon, l’entraîneur du HBH 71, en est bien conscient, d’où son mécontentement en fin de séance : « Nous avons travaillé en trois […]

Sus aux pinailleurs et aux tire-au-flanc

Jean-Rémy Babieux en pleine action

Hier soir, le travail demandé était intense, le prochain adversaire (comme les autres d’ailleurs !) ne sera pas en attente alors qu’il vient de perdre la semaine dernière. Thierry Micolon, l’entraîneur du HBH 71, en est bien conscient, d’où son mécontentement en fin de séance : « Nous avons travaillé en trois groupes. Sébastien Morel a fait faire un test VMA, les gardiens étaient pris en charge par Nicolas Facon et, pour ma part, je me suis occupé de joueurs de base avant pour un travail de vélocité. La seconde partie de l’entraînement était une continuité du thème de la séance de la veille sur le jeu d’attaque basé sur de la permutation en terminant sur une situation ludique avec une recherche d’espace libre vers le but adverse.
C’est vrai qu’il y a une nécessité de changement de rythme. Il ne faudrait pas s’installer sur d’éventuels lauriers parce qu’on a battu Nancy. C’était, il est vrai, une bonne performance et nous en sommes tous conscients. Nous avions su nous remettre en cause et faire un travail supplémentaire après Billère pour pouvoir y arriver. On doit renouveler cela sans cesse.
Néanmoins, je ressens une certaine insatisfaction car j’estime qu’on est capable de donner mieux car certain(s) joueur(s) ne donne(nt) pas suffisamment par rapport à d’autres. Il faut s’investir davantage. On ne doit pas pinailler. Il ne faut pas oublier que la force de l’équipe a été le groupe et sa discipline de même que le plaisir d’évoluer à l’intérieur du groupe. On ne doit pas en dévier. Tout le monde doit y mettre du sien surtout lorsque la charge d’entraînement n’est pas la même.
 »

Texte et photos :
Jean-Pierre MALEWICZ

Martin ValentSélim Tami... vu de dos !!