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Comment est ressentie l’équipe phare du club ?

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Publié le 27 août 2009
Pour Eric Fruchart, il faut poursuivre l’effort Outre Martin Valent (voir son point de vue ci-dessous), on compte trois autres recrues dans le groupe de Division 2 du HBH 71 dont Eric Fruchart qui jouait à Aurillac (D 1) la saison dernière et avec qui il a été à nouveau élu l’un des meilleurs défenseurs […]

Pour Eric Fruchart, il faut poursuivre l’effort

Eric1Outre Martin Valent (voir son point de vue ci-dessous), on compte trois autres recrues dans le groupe de Division 2 du HBH 71 dont Eric Fruchart qui jouait à Aurillac (D 1) la saison dernière et avec qui il a été à nouveau élu l’un des meilleurs défenseurs de Division 1.
Sa venue à Hazebrouck est loin d’être le fait du hasard, Thierry Micolon, l’entraîneur flamand, recherchant un joueur comme lui et Eric Fruchart cherchant à se rapprocher de ses bases, sachant qu’il a longtemps évolué à l’USDK en Division 1. C’est la raison pour laquelle il est loin d’être dépaysé en Flandre : « Mon intégration est totale. Elle a été facilitée du fait que je connais 70 % de l’effectif hazebrouckois. En effet, le groupe est formé de joueurs  que j’ai déjà rencontrés, avec lesquels j’ai évolué ou alors contre lesquels j’ai déjà joué. C’est un groupe très sympa. Je suis à 100 % avec eux. »
Concernant le stage en Normandie, Eric Fruchart estime que l’équipe est vite rentrée dans le vif du sujet pour une première expérimentation du collectif. « Il est vrai que je m’attendais à mieux au niveau des résultats obtenus en Normandie. En y réfléchissant, ils ne sont tout de même pas mauvais puisqu’on avait fait beaucoup de physique et qu’on n’avait pris le ballon qu’à partir de mardi. Il y a eu, c’est vrai, de bonnes choses durant le stage mais nous devons travailler encore plus les repères, les uns par rapport aux autres. »
Eric2

Lorsqu’on évoque avec Eric le groupe, il le voit homogène. « Je ne fais que confirmer ce que je pensais. Il y a de bonnes individualités et une envie d’aller jusqu’au bout. C’est un bon groupe mais il ne faudrait pas se relâcher, il faut bosser un minimum. Mine de rien, on n’a repris que depuis très peu de temps mais côté potentiel, c’est ok !
Je suis content d’être à Hazebrouck et j’espère vraiment qu’on fera de bonnes choses. 
»

Texte et photos :
Jean-Pierre MALEWICZ